Professeur [8/9]

On ne sait pas grand chose du passé de Dumbledore sinon qu'il a un fere nommé Alberfoth, qu'il a fait ses études dans la maison gryffondor, qu'il vit seul, si on peut dire et qu'il a été professeur de métamorpohose avant de devenir Directeur. C'est lui qui a recruté Tom Jedusor et a été son professeur. Tom n'a jamais craint que Dumbledore d'ailleurs. Albus a aussi fondé la socièté secrete de l'ordre du phénix. Il a refusé plusieurs fois le poste de ministre de la magie, i est l'actuel direcetur de Poudlard et le président sorcier du Magnmagot. Il possède ausso l'ordre de Merlin première classe....et une carte dans les chocogrenouilles. Lorsqu'on lui retira son poste de président sorcier pour le discréditer, il dira d'ailleurs : "Je m'en fiche tant qu'on ne retira pas ma carte des chocogrenouilles"

Elle naît le 4 octobre 1925. En 1936, elle rentra au collège Poudlard et se fit envoyer dans la maison de Gryffondor. Elle à jouer au Quidditch dans cette équipe. Plus tard, elle se fait nommer préfete puis préfète-en-chef. Elle y fait de brillantes études. C'est durant sa quatrième année d'étude que McGonagall décide de devenir Animagi. Elle se transformera plus tard en un chat tigré avec des taches noirs autour des yeux (ce qui représente ses lunettes). C'est en 1943 qu'elle quitte Poudlard avec les BUSE et les ASPIC nécessaire pour se lancer dans une formation de Métamorphose qui est sa branche préférée. Elle considère les autres formes de magie quelque peu moins élégantes et plus simplistes que la métamorphose. Elle est connue pour donner de grandes quantités de devoirs. C'est en 1956, un an après que Dumbledore fut élu Directeur, que McGonagall prend sa place comme Professeur de Métamorphose. Par la suite, elle devient directrice de son ancienne maison, Gryffondor, puis directrice adjointe de Dumbledore. Dans les années 1970, elle rejoint l'Ordre du Phénix. Elle fut aussi un appuie des Gryffondor même si elle ne leurs donnent pas grâce comme les autres Professeurs et Directeurs de Maison, elle est assez dure mais c'est dans le bon, alors les élèves sont gentils avec elle, sauf, bien entendu, les Serpentards qui l'a traite de Mégère qui donne le tourni, ce qui est pour elle assez méchant de la part des Serpentards, elle les maîtrises à sa manière et n'aime pas que les Gryffondor n'écoutent pas les conseils des adultes, puisque la plus grande qualités d'un Gryffondor est le courage et le courage se fait en écoutant d'autre avis, de plus des avis de personne qualifiés. Elle donne ses cours accompagner de Devoirs trop grands et en nombres eh oui elle se dit surement que mieux les élèves ont de Devoirs mieux ils se porteront!

Filius Flitwick est le Professeur de sortilèges de Poudlard.Il est le directeur de la maison des Serdaigle.Il enseignait déjà à Poudlard dans les années 70 .C'est un humain mais avec un peu de sang de gobelin (il
en souffre car a cause de sa petite taille beaucoup non pas de respect pour lui) . Il était déjà professeur du temps de James Potter et ses amis.Il est une personne émotive, imposant toutefois le respect.Il fut champion de duel dans sa jeunesse, ou du moins il en a la réputation.Il a toujours etait bon en se qui concerne la magie et surtout les sortileges.Il a etait en sont enfance a Serdaigle puis il et devenu professeur de Sortilege et Dumbledore la nommé Drecteur de Serdaigle , se qui le rendit fiere de cette honneur.

Pomona Chourave est née à Dublin le 15 mai 1925 d’une mère botaniste de renomée et d’un père médicomage. Elle était une élève brillante à l’école Poudlard où elle fut acceptée à la maison de Poufsouffle. Elle était une élève brillante et studieuse qui obtenue ses BUSES ainsi que ses ASPIC notament en Botanique(Optimal) Potions(Optimal) et DCFM(Effort Exceptionnel). Après ceux-ci elle se lança dans la botanique plus approfondie et eu de nouveaux diplomes. Après la mort de sa mère elle se décida à retourner à Poudlard mais cette fois-ci pour enseigner et comme vous aurez pu le deviner, la botanique. Cela faisait plus de quarantes ans que Pomona enseihgnait sous la direction d'Albus Dumbledore. Aujourd'hui, agée de 73 ans, elle revient à l'école pour reprendre sa place, mais Albus est mort et c'est Severus Rogue qui as prit sa place. Elle possède une maison de vacances où se trouvent son saule cogneur ainsi que ses deux chiens : Gélus et Portunus. Elle est accompagnée de nombreux amis qui sont de nouveaux à l'école : Horace Slughorn et Minerva McGonagall. Elle a aussi repris la direction de la maison Poufsouffle. Pomona est une femme battante comme elle l'a prouvée durant la guerre contre Voldemort et ses Mangemorts. Elle a été à même de concocter toutes sortes de remèdes à bases de plantes afin de soigner les bléssés. Elle a aussi créee une sorte d'armée de végétaux comptant des tentaculas vénéneuses, des mandragores et bien d'autres. Elle a même réussit à dresser le Saule cogneur et celui-ci a térrassé de nombreux ennemis dans le parc de l'école. Ses nombreuses capacités en magie comme en DCFM, en enchantements et bien d'autres lui ont aussi permise de survivre à la bataille. Durant cette bataille elle a mis à terre et tué plusieurs dizaines de mangemorst tout comme ses collègues. Peu de temps après cette bataille, Poudlard a été réouvert, Pomona était très heureuse de reprendre ses fonctions au sein de l'école ainsi que de revoir ses anciens collègues et amis ainsi que ses élèves. Depuis son retour, elle a de nombreux projets surtout écologiques, par exemple faire respecter l'environnement, et elle mène activement une campagne contre la pollution de la nature notament contre certains produits moldus.
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Rubeus Hagrid est né le 6 décembre 1929, d'un humain sorcier et de la géante Fridluva, laquelle abandonna sa famille trois ans plus tard. Il est donc un demi-géant.

Hagrid a été l'un des premiers personnages créés par J. K. Rowling. « Hagridden est un vieux mot anglais, qui se dit, en dialecte, quand on a mal dormi. Hagrid boit beaucoup — il a souvent de mauvaises nuits. ». Il est le « gardien des clés et des lieux » à Poudlard, ce qui signifie selon Rowling que « c’est lui qui vous laisse entrer et sortir de Poudlard ». Il en est aussi le garde-chasse et il enseigne les Soins aux Créatures magiques depuis le tome 3. Il est également membre de l'Ordre du Phénix depuis son origine. L’auteur en fait pour la première fois mention au chapitre 1 dans Harry Potter à l'école des sorciers..

Aurora a grandit avec ses parents et ses deux frères qui sonnt plus agés qu'elle. Aurora était fascinée par le travail de sa mère qui était astronome et qui lui a tout appris. Aurora a fait ses études à Poudlard de 1976-1983 à Serdaigle. aurora a passé les plus belles années de sa vie à Poudlard. Quand elle eu finit ses études à Poudlard, elle étudia à Oxford et obtient son doctorat en astrophysique en 1989, elle fut embauché à Poudlard en 1990 à la mort de son ancien professeur d'Astronomie. Elle fut alors la plus jeune membre du personnel de Poudlard. Elle a toujours aidé ses collègues à protéger Poudlard contre Voldemort. Aurora adore les téléscope puisqu'elle en construit un pour elle-même.

Arrière-arrière-petite-fille de la "très célèbre et très douée" voyante, Cassandra Trelawney, Sibylle est née de parents sorciers peu aisés et élevés dans l’ombre de la grande voyante qu’était son aïeule. Convaincue que son don de voyance, normalement transmis de mère en fille, était en elle, elle tenta de passer un entretien auprès de Dumbledore en 1979 pour devenir professeur de divination. Tout ceci se déroula à la Tête de Sanglier à Pré-au-Lard et alors que le directeur de Poudlard était sur le point de lui dire qu'elle ne convenait pas pour l'emploi, à sa grande surprise, elle tomba en transe avant de prononcer d’une voix étrange la terrible prédiction qui enrôla sur la fin de Lord Voldemort.

Sybille aime débuter l'année scolaire en prédisant la mort d'un de ses élèves. A l’époque où Harry Potter était encore élève, il avait le droit à ce petit discours continuellement. Pendant ses cours, sa classe est parfumée, enfumée et remplie de poufs moelleux et de petites tables. Elle enseigne de nombreuses méthodes de divination dont la lecture des feuilles de thé et l'observation dans les boules de cristal.

C'est donc elle qui, en 1980, fait la prédiction qui cause la mort de James Potter et sa femme Lily Evans : cette prédiction affirme qu'“aucun des deux ne peut vivre tant que l'autre survit”. Le seul témoin de la prédiction, Albus Dumbledore, qui n'était jusque-là que très peu convaincu des compétences de cette candidate au poste de professeur de divination (et qui en lui-même doutait de l'intérêt de cette matière), l'embauche sur-le-champ pour éviter qu'elle n'aille répandre l'information.

En 1994, elle fait une prédiction qui se réalise quelques heures plus tard à propos de Peter Pettigrow.

Un soir de juin 1997, alors qu'elle est une fois encore ivre, elle arrête Harry Potter dans un couloir de Poudlard, pour lui parler d'un grand malheur prochain en lui montrant une carte qui représente selon elle “la tour frappée par la foudre”... Cette nuit-là, quelques heures plus tard, Dumbledore est assassiné par Rogue au sommet de la tour d'astronomie, au moyen d'un sortilège d'Avada Kedavra, puis son corps est projeté dans le vide sous la violence du choc. L'expression “la tour frappée par la foudre” sera d'ailleurs le nom du chapitre dans lequel Dumbledore meurt.

Et depuis... depuis Sybille reste elle-même en faisant des prédictions approximatives et erronées. Mais à quand sa prochaine vraie vision ?

Notre histoire commence un jour d’été dans la ville de Canterbury. Un jour simple, un jour de routine ou encore d’habituelle misère pour beaucoup des gens dans ce monde. Mais pour une femme, dans une chambre assez belle, décorée avec des lourds rideaux aux fenêtres et des tapisseries simples mais agréables à regarder, cette journée était loin d’être une routine.
Dans le lit de bois vernit, une femme était allongée, dormant dans des draps de couleurs chaudes. Cette femme était complètement épuisée après les quelques heures qu’elle venait de subir.
Elle s’appelait Melania, un nom qui resta dans les mémoires de quelques personnes. Sorcière, elle avait mené de nombreux combats, qu’ils soient intéressant ou non, mais Melania n’était pas fatiguée pour cette raison, ce jour là, elle n’avait pas eut à se battre pour la sauvegarde des ciseburines, tomber dans une embuscade ou encore un long et périlleux voyage qu’elle avait l’habitude de faire…
Elle, qui se reposait, était épuisée car elle avait donné naissance à un bébé… Elle avait donné la vie à un être qui pour le moment était fragile, innocent et endormit dans un petit berceau a coté de son lit.
Cette enfant était un garçon… Il avait une jolie bouille, des petits cheveux blonds et des yeux qui pour le moment étaient de couleur clairs mais, cela pouvait bien changer…

Le père de cette enfant était au chevet de son épouse… Etranger, il avait suivit sa femme jusqu’à son pays natal, l’angleterre. Cette dernière dormait toujours paisiblement, ses yeux étaient fermés, sa respiration calme et sa peau toujours aussi douce… Il aimait sa femme plus que tout et elle lui avait offert la chose que tout homme disposant d’un cœur rêvait d’avoir… Un enfant.
L’homme avait assisté à l’accouchement difficile de sa femme. Elle avait souffert en donnant la vie.
Des cris de douleurs s’étaient perdus dans la pièce et lui, ne pouvant rien faire serrait simplement la main de Melania dans la sienne… Cette dernière était déjà plus rassurée en sentant la présence de son mari et après des heures de travail, un enfant fut né et cet enfant fut baptisé Horace....

Le petit Horace était allongé dans son berceau, goûtant à son premier sommeil, ses petites mains tenaient la couverture qu’il avait sur lui, sa petite tête s’était laissée aller sur le coté, montrant son visage de profil.

Melania avait gardé son fils dans ses bras pendant un long moment après l’accouchement, elle ne voulait plus le lâcher.
La mère l’avait contemplé avec un regard doux, tendre, un regard de maman.
Horace, lui, tenait un doigt de sa mère et ne savait pas vraiment ce qu’il se passait. Il était vivant mais ne prenait en aucun cas conscience de ce moment.
Le père, lui, était assit au bord du lit à ce moment là, contemplant lui aussi l’être que sa femme venait de mettre au monde et il lâcha un « merci » à Melania. Cette dernière n’avait pas répondu, sûrement à cause de la fatigue.
Les deux parents vivaient le plus beau jour de leur vie mais la vie n’accorde pas que du bonheur.
Au réveil de Melania, son mari lui annonça qu’il allait devoir repartit dans son pays dans les heures qui allaient suivre. Son emploi au Ministère de France le rappelait.
Melania était bien entendu triste et déçue par la nouvelle mais elle s’y résigna, sachant qu’il n’y allait pas vraiment par plaisir mais par obligation. Elle avait faillit le retenir, en lui donnant comme arguments des choses comme « Mais aujourd’hui c’est la naissance de ton enfant » ou encore « Tu es père et tu dois rester près de lui » mais elle savait que c’était égoïste de lui dire cela car lui aussi aurait préféré rester auprès de son fils et sa femme et elle trouva d’autre arguments pour se prouver qu’il avait raison de partir. Elle, elle pouvait encore attendre.

Après avoir serré sa femme dans ses bras, lui murmurant des mots doux et rassurant à l’oreille, après l’avoir embrasser pour lui dire au revoir, il était allé vers son fils.
Il la regarda un moment sans rien faire, l’observant dormir avec douceur puis, il la prit dans ses bras et déposa un tendre baiser sur sa joue.
Horace ouvrit à peine ses yeux et son père lui caressa doucement la joue pour qu’il se rendorme, ce qu’il fit.
Il l’amena alors à Melania et le laissa dans ses bras avant de partir, fermant le porte derrière lui, laissant sa femme et son fils derrière lui, le regret au ventre mais, il devait faire son devoir.

Les jours passèrent et Melania reprenait des forces à vue d’œil, son fils était le plus souvent dans ses bras et elle recevait de la visite.
Des habitants des alentours étaient venus pour lui dire leurs félicitations pour avoir mit au monde un enfant qu’ils qualifiaient tous de « magnifique ».
Mais, la personne que Melania désirait le plus voir apparaître sur le seuil de la porte de sa chambre n’arrivait pas.

Après plusieurs semaines, alors que la mission de son mari devait être terminée depuis longtemps, ce dernier revint à Canterbury.

Le retour de son mari et la présence d’Horace apporta à Melania le bonheur dont elle avait besoin. Il était un enfant intelligent, apprécié par les voisins. Désormais âgé de 5 ans, il gambadait avec les autres enfants de son village, un sourire radieux sur son visage.

Un jour, il découvrit ses talents de sorcier, arrivant à contrôler plus ou moins à faire léviter un caillou. Ses parents étant eux aussi sorciers, ils ne se formalisèrent pas lorsque leur fils vint leur raconter ce qui c’était dérouler dans la journée. Les parents de Horace étaient tout pour ce dernier. Ils l’aidaient, le consolaient, l’écoutaient, l’éduquaient, lui parlaient… Tout ce dont un enfant a besoin. Sa vie était agréable dans une petite maison. Il avait sa propre chambre avec un lit en bois, une petite commode où étaient rangé des vêtements, des jouets, ...

Les années passèrent ainsi, Horace grandissait chaque jour un peu plus. Et puis, un jour, une lettre arriva. Et Horace se rappela ce que ses parents avaient dit à propos de Poudlard avant d’ouvrir la lettre, la première lettre officielle qu’il recevait. Il avait onze ans, et il était temps pour lui de suivre les pas de ses parents.

Il suivit sa scolarité en bon élève et fut envoyé dans la maison de Serpentard où il se fit des amis. A Poudlard, il se découvrit un fort penchant pour les ananas confits et une passion pour l’art des potions. A tel point que ses professeurs ne furent pas surprit lorsqu’il décida d’en faire son métier. Ses parents approuvèrent, fiers de lui. Potioniste à son compte, il réintégra cependant Poudlard par la suite pour devenir Professeur à son tour. Heureux, il se retrouva ensuite Directeur des Serpentards. Son père décéda quelques années plus tard. Quant à sa mère, elle est toujours vivante, quoique maintenant assez vieille… Il lui rend visite quand il en a le temps, et c’est toujours un moment de plaisir, malgré qu’elle lui reproche légèrement son embonpoint.